Présentation

Publier un livre de poésie, c’est comme jeter une pétale de rose au fond du Grand Canyon et attendre l’écho, professe le sage...
Qu’attendre alors de ces Faux Poèmes Chinois, potaches et lourds comme un 38 tonnes ? Si les haïkus étaient chinois, ces poèmes-là seraient probablement les plus mauvais haïkus jamais produits. Le vulgaire y côtoie allégrement l’absurde et le stupide, faisant naitre parfois - par mégarde sans doute - d’authentiques éclats poétiques.
Publié une première fois en 1995 par Tom de Pékin et Guillaume Dégé, trublions de l’ombre, ce livre n’a rien perdu de sa force : de tels ouvrages n’ont pas d’âge et éclairent nos ténèbres de leur impertinente lumière (car on dit encore beaucoup d’âneries sur la Chine). Nous exhumons donc avec fierté aujourd’hui cette encyclopédie antipodiste, opuscule dans la lignée des bricolages dada, de Topor, et des Pataphysiciens. Une belle mécanique bien huilée, un paquet de soupapes ronflant sous un capot enflammé, et ce qu’il faut de fureur : Les Faux poèmes chinois est le Fast and Furious de la poésie.
Et comme le disent si bien Maîtres Da Wensan et Dai Rui : Dès que j’entends le mot culture, je sors mon bambou.

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