Présentation

María Mercedes Carranza est une figure majeure de la poésie ­latino-américaine du XXe siècle, tout comme Alejandra ­Pizarnik ou Alfonsina Storni. Dans un contexte politique et ­social ­dominé par la violence, sa voix résiste. Parlant du familier et du ­quotidien, elle ose nommer ce qui est intime et dénoncer la guerre. Elle vient dire avec lucidité la douleur d’être soi et la ­vanité des grands mots. En abordant la mort, l’amour et l’histoire, son ­engagement ­poétique touche le coeur même de l’existence, où se ­côtoient la présence et l’absence dans un ­incessant jeu de miroirs. Elle s’adresse avec tendresse ou ironie à ­Quevedo, Ulysse, Dylan ­Thomas ou Pavese, aux êtres chers, à elle-même et finalement à nous. Malgré l’immense solitude qui se dégage de ses poèmes, une force constante traverse toute sa poésie et nous ­atteint aujourd’hui par-delà les mers et le temps.

Préface de Thierry Gillyboeuf.

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Caractéristiques

  • EAN13

    9782889780044
  • ISBN

    978-2-88978-004-4

  • Éditeur

    LA VEILLEUSE

  • Date de publication

  • Collection

    LE VERRE ARDENT

  • Nombre de pages

    160

  • Dimensions

    20 x 13 x 1,3 cm

  • Poids

    203 g

  • Langue

    castillan, espagnol

  • Fiches UNIMARC

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