Présentation

Vivre et faire vivre la culture du cyclisme en Isère auprès des passionnés de tout âges, amateurs de belles histoires et de belles routes, de celles qui mènent au sommet de la gloire ou d’un col !

Si le vélo peut être un art de vivre, un effort ou un motif de contemplation, il subit également la volonté d’une géographie parfois capricieuse mais toujours surprenante. C’est le grand loto des routes, tracées de manière erratiques, et sources intarissables de découvertes permanentes. Sur le vélo, on les subit comme on les vénère pour ce qu’elles offrent : la possibilité d’explorer un territoire quasiment oublié.
L’Isère, département connu du monde entier grâce à la récurrence des passages du Tour de France et du Critérium du Dauphiné, son évènement presque satellite, cache jalousement des routes secrètes où rouler devient un plaisir hédoniste, une source de jouvence. Un espoir aussi après cette année 2020 si particulière, mais qui n’a rien changé à ce champ des possibles si ce n’est renforcer le besoin vital d’y aller tourner les jambes.
Vivre les 21 lacets de l’Alpe d’Huez au printemps, découvrir encore et encore des cols oubliés de la légende mais pas des vrais amateurs, rencontrer Nans Peters, vainqueur sur le Tour de France et celui d’Italie, revenir sur les 70 ans de légende du Critérium du Dauphiné, s’intéresser à ceux, artisans ou moniteurs qui vivent du vélo en Isère au jour le jour… Et oser franchir le pas et s’inscrire à une des multiples courses amateurs organisées par des clubs dévoués pour se fixer un but et se tester sans filets, mais aussi aller plus loin que la route, lorsque la terre remplace le goudron, pour se lancer dans l’aventure du gravel. Tous ces ingrédients qui font le sel du cyclisme sont à retrouver dans le prochain numéro d’Étapes. Une revue qui se donne les moyens d'aller à la fois plus loin et dans la profondeur !